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Pour partager son expérience insolite, elle a publié même un livre autobiographique. Surnommée « Mama Lee », Lee Wachtstatter a perdu son mari en 1997. Il souffrait de cancer. Seule, elle a tenu à respecter la promesse faite à son défunt époux, celle de continuer d’aller en croisière. Le couple avait voyagé auparavant en bateau.
Lee a donc vendu sa maison et a pris place sur un bateau de luxe. Elle voyage constamment et a déjà visité une centaine de pays dans le monde. Elle n’est pas seule. Elle est accompagnée tout le temps par des assistants et employés qui œuvrent constamment pour elle à l’intérieur du bateau. Pour sa cabine privée, elle débourse la modique somme de 160 000 dollars par an.
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Pour Lee, cette somme est secondaire par rapport à la qualité de vie qui s’offre à elle. À chaque débarquement, elle danse avec les hôtes de la croisière pour rendre hommage à son défunt époux, avec qui elle a accompli au moins 89 voyages de croisière.
La retraite chère de Lee en vaut la peine. L’essentiel après tout, c’est que celle qui a sorti le best-seller « I May Be Homeless, But You Should See My Yacht » se porte bien.
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